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  • Le psoriasis

    Le psoriasis est encore très méconnu du grand public comme des scientifiques. En effet, on ignore quelle en est la cause, même si l’on sait que cette maladie est liée à un facteur génétique et que 30% des malades ont un proche parent souffrant de psoriasis. L’hérédité n’explique cependant pas tout, le psoriasis semble avoir besoin d’un élément déclencheur comme : une maladie infectieuse (infection à la gorge à streptocoques ou VIH), un traumatisme cutané (sur une cicatrice d’opération, une égratignure, un bouton de varicelle voire un coup de soleil), certaines substances (alcool, tabac, lithium, bêtabloquants, anti-inflammatoires non stéroïdiens, anti paludéens, etc.) le stress. Mais les connaissances actuelles ne permettent pas encore d’affirmer avec certitude la responsabilité de ces déclencheurs. Le psoriasis correspond à un renouvellement trop rapide des cellules de la peau. Alors que celui-ci prend normalement de 21 à 28 jours, il n’est plus que de 2 à 6 jours chez les personnes atteintes. Dans le cas d’un psoriasis en plaques, le plus répandu avec 80% des diagnostics, cela se manifeste par l’apparition de plaques rouges bien circonscrites et recouvertes de squames blanches rugueuses. Ces plaques apparaissent le plus souvent sur les coudes, les genoux, le cuir chevelu et le bas de dos. On trouve également d’autres formes de psoriasis, plus ou moins courantes : Psoriasis unguéal : des trous minuscules se forment dans les ongles jusqu’à détacher parfois l’ongle de la peau. Psoriasis en gouttes : des petites plaques squameuses en gouttes d’eau (moins d’un centimètre) sont disséminées sur le corps. Cette forme de  psoriasis, souvent consécutive à une infection de la gorge, peut évoluer vers un psoriasis en plaques qui risque de perdurer indéfiniment. Psoriasis des plis, ou psoriasis inversé : au lieu d’apparaître sur des « bosses » (genoux, coudes), les plaques se logent dans les creux de la peau, notamment dans les zones de flexion (pli du genou par exemple). Il existe aussi deux formes de psoriasis très rares, le psoriasis érythrodermique et le psoriasis pustuleux. Il n’y a aujourd’hui aucun traitement permettant de guérir le psoriasis mais certains produits peuvent réduire voire faire disparaître les plaques. On peut ainsi utiliser : des émollients, qui hydratent et apaisent la peau tout en ramollissant les plaques,  des stéroïdes à application locale en complément d’autres produits, des « analogues de la vitamine D » comme le calcipotriol et le tacalcitol, du coaltar, du tazarotène qui s’utilise uniquement sur les zones malades du dithranol, un traitement efficace à utiliser avec précaution. Dans la plupart des cas, les personnes atteintes de psoriasis sont prises en charge par un médecin généraliste mais elles peuvent être orientées vers un dermatologue hospitalier si les symptômes sont graves ou les traitements sans effet. Sources - Société française de dermatologie, site d’information dermato-info.fr - Assurance Maladie – Ameli sante - Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS), fiche Virus Varicelle-Zona
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_386/menu-haut/maladies-et-prevention/maladies-de-la-peau/le-psoriasis.html
  • Maladies de la peau


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  • Premiers secours, une trousse bien préparée

    Désinfecter et protéger les petites plaies Un rouleau de sparadrap (ou de la maille élastique). Une boîte de pansements adhésifs de différentes tailles et prédécoupés. Une bande de pansement adhésif à découper. Des compresses stériles (dix environ). Un antiseptique liquide : il élimine les micro-organismes ou les virus qui infectent la plaie. Parmi les antiseptiques les plus efficaces, on trouve les halogénés (Bétadine® et Dakin Cooper®), les biguanides (la chlorhexidine et les associations d’antiseptiques) et les alcools (alcool éthylique à 70°, alcool isopropylique, etc.). Certains produits sont considérés à tort comme des antiseptiques (eau oxygénée, éosine, violet de gentiane) tandis que d’autres sont déconseillés (principalement les dérivés mercuriels). Enfin, des précautions sont à prendre lors de l’achat d’un antiseptique : assurez-vous que vous n’y êtes pas allergique (la Bétadine® contient de l’iode), prenez connaissance de la notice pour ne pas avoir à la parcourir « en urgence » et n’oubliez pas que ces produits peuvent se périmer après ouverture… Stopper une hémorragie Un pansement compressif : il se compose d’un coussin revêtu d’une compresse absorbante et d’une bande à enrouler autour afin de stopper une hémorragie. À savoir : on parle d’hémorragie lorsqu’il y a un écoulement important de sang. Quelques gouttes de sang ne constituent pas une hémorragie, juste un saignement. Immobiliser un membre (ou maintenir une compresse) : Des bandes extensibles (deux de tailles différentes). Une bande extensible auto-adhérente. Une bande en crêpe (Velpeau®). Une écharpe triangulaire. Des attaches auto-agripantes. Protéger et se protéger Des gants à usage unique : ils protègent aussi bien le secouriste que le malade. Ils doivent être jetés après usage et vous devez régulièrement vérifier leur date de validité.  Une couverture de survie : c’est une couverture d’aluminium très mince qui comporte un côté doré et un autre argenté. Lorsqu’elle est posée face dorée vers l’extérieur, elle sert à maintenir la chaleur. À l’inverse, lorsque c’est le côté argenté qui est externe, elle protège du soleil et de la chaleur. Informer et s’informer Un bloc-notes et un crayon afin de noter les informations importantes, comme les médicaments pris par la victime, les signes observés, l’heure ou la durée d’une éventuelle perte de connaissance. Un manuel des gestes de premiers secours afin d’avoir sous la main les indications utiles à une intervention. Un descriptif du contenu de la trousse afin de toujours connaître l’utilité de chaque élément. Des outils bien pratiques Une paire de ciseaux à pansements. Une pincette à échardes. Un tire-tiques. Et aussi Des antalgiques pour soulager la douleur. Un coussin thermique pour refroidir ou réchauffer Pour voyager à l'étranger Carte européenne d’Assurance maladie. Carnets de vaccination.  Ordonnances pour les voyageurs en traitement.  Médicaments contre le mal des transports. Pour partir en randonnée Des sucres pour parer à d’éventuelles hypoglycémies. Une pompe pour aspirer le venin.  Une crème solaire.  Un stick à lèvres s’il fait froid.  Des pastilles de désinfection de l’eau.  Une lampe de poche. Un répulsif d’insectes.  Des sacs plastique pour emporter les déchets (compresses utilisées, etc.).  Un gel hydroalcoolique pour se laver les mains.
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_526/menu-haut/sante-au-quotidien/gestes-qui-sauvent/premiers-secours/premiers-secours-une-trousse-bien-preparee.html
  • Les différents troubles de la prostate

    Située au carrefour des voies urinaires et génitales, cette glande participe au mécanisme de l’éjaculation du sperme. Elle secrète un liquide qui améliore le déplacement et la survie des spermatozoïdes. La prostate commence à se modifier dès 20-25 ans. Cet organe peut se modifier et augmenter de volume pour plusieurs raisons : une infection, souvent liée à une maladie sexuellement transmissible chez l’homme jeune, une hypertrophie bénigne (ou adénome) qui apparaît avec l’âge, ou un cancer, au deuxième rang par ordre de fréquence des cancers masculins. Quand on observe des troubles de la miction, il ne faut pas hésiter à consulter son médecin généraliste. Il appréciera l’intensité des symptômes, leur impact sur la qualité de vie et effectuera l’examen clé : la palpation de la prostate par toucher rectal, afin d’estimer le volume de la glande, sa consistance, la régularité de son contour. En fonction de cette première consultation, le médecin peut demander un bilan échographique ou radiologique.   Hypertrophie bénigne Après 50 ans, plus d’un homme sur deux présente une hypertrophie bénigne prostatique, révélée par des modifications de la miction. « Les symptômes d’appel sont des signes d’obstruction urinaire tels que la faiblesse du jet, la difficulté à démarrer la miction, un jet prolongé par à-coups, ainsi que des signes d’irritation de la vessie qui modifie son comportement en amont de l’obstacle que constitue la prostate. C’est ce qui se passe quand on a besoin d’uriner pendant la nuit, et aussi quand on a l’impression que l’on ne pourra pas se retenir », souligne Jean-Luc Moreau, urologue. « Ces signes ne sont pas spécifiques, mais leur association est très évocatrice d’un problème prostatique. » Pourtant, beaucoup de gens négligent ces manifestations car elles s’installent progressivement et parce qu’ils les considèrent, à tort, comme le tribut de l’âge et du vieillissement.   Toucher rectal et PSA L’adénome prostatique (ou hypertrophie bénigne) et le cancer peuvent coexister au sein de la prostate. Le cancer doit être particulièrement recherché quand il y a des antécédents familiaux. Quand le toucher rectal apparaît suspect, un dosage sanguin du PSA, antigène spécifique de la prostate, est demandé. L’objectif est de déceler les cancers à un stade précoce afin de proposer aux patients de moins de 70 ans, en bon état général, un traitement curatif par chirurgie ou radiothérapie.
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_698/menu-haut/bien-vieillir/preserver-sa-sante/troubles-lies-a-l-age/les-differents-troubles-de-la-prostate.html
  • Syndrome du canal carpien

     
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_778/menu-haut/maladies-et-prevention/troubles-articulaires-et-musculaires/syndrome-du-canal-carpien.html
  • L’explosion des troubles musculo-squelettiques

    Ces affections sont connues depuis longtemps, on parlait déjà de la « crampe des écrivains » vers 1830, mais elles ne sont regroupées et réellement prises en compte que depuis une vingtaine d’années. Si les TMS constituent aujourd’hui un enjeu primordial en matière de santé au travail, ils représentent en effet plus de 80% des maladies professionnelles, c’est en raison d’une meilleure connaissance du sujet et d’un recensement plus efficace des cas mais également à cause des modifications de nos conditions de travail. Ce dernier mot figure d’ailleurs dans d’autres appellations des TMS, notamment aux États-Unis. Selon un rapport de l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), plusieurs phénomènes pourraient expliquer les TMS, notamment : l’accroissement des contraintes de productivité, l’augmentation du travail à la chaîne, la pénibilité croissante des conditions de travail, l’automatisation partielle des processus de fabrication qui entraîne des mouvements répétitifs ou peu naturels. Et même si certains secteurs d’activité semblent plus touchés par les TMS, comme la grande distribution, le BTP ou l’agro-alimentaire, ces pathologies peuvent toucher n’importe quel salarié. C’est le cas du syndrome du canal carpien.      Sources - Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS), Les troubles musculosquelettiques du membre supérieur, guide pour les préventeurs - Institut Mutualiste Montsouris, Fiche info patients - Assurance Maladie, Ameli santé
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_781/menu-haut/maladies-et-prevention/troubles-articulaires-et-musculaires/syndrome-du-canal-carpien/l-explosion-des-troubles-musculo-squelettiques.html
  • Le symptôme de la main lourde

      Cela commence par des fourmillements, des picotements et un engourdissement progressif de la main, puis surviennent des « décharges électriques » descendant jusqu’à l’extrémité des doigts de la main, le plus petit étant souvent épargné, et montant parfois vers l’avant-bras, le coude, voire l’épaule. Ces symptômes ne se manifestent pas uniquement pendant une activité, mais également la nuit, au repos. A un stade plus avancé, les « doigts de la pince » perdent progressivement leur sensibilité, et une diminution de puissance dans les muscles à la base du pouce fait son apparition, ce qui peut occasionner une gêne dans certains actes de la vie courante, comme ramasser un petit objet ou se boutonner. Le plus souvent, les deux mains sont touchées mais pas forcément en même temps ni au niveau des mêmes zones. Canal engorgé La compression du nerf médian est à l’origine de tous ces signes. Notre main est en effet commandée par 9 tendons dits "fléchisseurs" passant par le canal carpien. Le nerf médian les accompagne. Il a pour fonction de permettre la sensibilité des doigts, annulaire excepté, et de contrôler certains muscles à la base du pouce. Autour de tout cela, le ligament annulaire antérieur du carpe forme une sorte de grande enveloppe. Dans le cas du syndrome du canal carpien, celle-ci subit une augmentation de pression qui entraîne la compression du canal carpien et gêne donc le fonctionnement des tendons fléchisseurs et du nerf médian qui le composent. Les facteurs de risque Si le mécanisme de cette pathologie est maintenant connu, l’origine de l’augmentation de pression l’est moins. On identifie un certain nombre de facteurs favorisant ce syndrome comme les facteurs hormonaux ou métaboliques (grossesse, ménopause, diabète…), les anomalies constitutionnelles (canal carpien naturellement étroit par exemple) ou acquises (déformations) et certaines maladies (polyarthrite rhumatoïde). Mais assez souvent, ce syndrome est du à des mouvements répétitifs et rapides comme les flexion-extensions du poignet (conduite automobile, travail sur clavier, conditionnement…), la saisie répétée d’objets avec la main et les vibrations, courantes dans le BTP mais également chez les percussionnistes par exemple. href="http://www.dailymotion.com/HarmonieMutuelle">HarmonieMutuelle  Sources - Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS), Les troubles musculosquelettiques du membre supérieur, guide pour les préventeurs - Institut Mutualiste Montsouris, Fiche info patients - Assurance Maladie, Ameli santé - Chaîne Harmonie Mutuelle - http://www.youtube.com
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_782/menu-haut/maladies-et-prevention/troubles-articulaires-et-musculaires/syndrome-du-canal-carpien/le-symptome-de-la-main-lourde.html
  • Diagnostic, traitement et prévention

    En général, le médecin parvient à établir le diagnostic de syndrome du canal carpien par un interrogatoire mais il a souvent recours à un électromyogramme (EMG), qui mesure la transmission de l’influx nerveux dans le nerf médian grâce à des électrodes placées sur son trajet. Si le médecin soupçonne un rétrécissement du canal carpien du à l’arthrose ou à une fracture par exemple, il peut demander une radiographie du poignet et de la main. Enfin, l’échographie ou l’IRM sont parfois utilisées pour étudier le contenu du canal carpien ou à la suite d’une opération. Une fois le diagnostic formulé, 3 solutions peuvent être envisagées : lorsque le cas n’est pas très préoccupant (gêne peu importante, absence de paralysie du pouce et de perte de sensibilité, apparition récente), l’attente est préconisée, avec observation de l’évolution de la pathologie ; si les douleurs sont plus importantes et que les symptômes datent de plus d’un an, on peut procéder à des infiltrations de corticostéroïdes. Celles-ci font disparaître la douleur chez 80% des patients mais cet effet bénéfique dure plus d’un an dans 20% des cas seulement. Il est donc souvent nécessaire d’en refaire mais ces infiltrations étant loin d’être anodines, elles sont limitées en nombre pour ne pas endommager les tendons fléchisseurs ; l’intervention chirurgicale est la dernière solution, choisie pour les cas les plus préoccupants ou persistants. Elle vise à décomprimer le nerf médian en sectionnant l’épais ligament qui le recouvre.   La prévention Au travail Le syndrome du canal carpien étant souvent lié au travail, l’entreprise constitue un lieu privilégié de prévention, d’autant plus qu’avec 30 jours d’arrêt maladie en moyenne pour cette pathologie, il existe un intérêt certain à l’éviter. Dans un premier temps, il s’agit de dépister les situations à risque, soit par un entretien avec le médecin du travail, soit par la check-list OSHA, qui prend en compte divers facteurs comme l’environnement physique, l’organisation du travail, l’effort ou les amplitudes articulaires. Dans un deuxième temps, une intervention peut se mettre en place, mais elle nécessite une véritable implication de la direction et des différents acteurs de l’entreprise. Une fois les facteurs de risque identifiés par une analyse approfondie, ceux-ci pourront être maîtrisés. On pourra notamment travailler sur l’amélioration des outils utilisés, l’aménagement du poste de travail ou l’organisation du travail. Poignet en main Au-delà des actions menées en entreprise, la prévention du syndrome du canal carpien passe également par quelques recommandations personnelles. Reposer régulièrement les mains et les poignets et étirer doucement ceux-ci lors de l'exécution de tâches répétitives. Changer fréquemment de position et alterner les mouvements d’une main à l’autre si cela est possible. Éviter de forcer avec les mains lorsqu’elles sont trop rapprochées ou trop éloignées du corps. Pour utiliser un clavier d’ordinateur par exemple, appuyer légèrement sur les touches. Ne pas appuyer les poignets trop longtemps sur des surfaces trop dures. Tenir les objets à pleine main, non du bout des doigts. Préférer des outils avec des poignées ni trop grosses ni trop petites. Limiter le temps d’utilisation d’un outil vibrant fortement. Le froid favorise la douleur, porter donc des gants pour effectuer des travaux manuels dans un environnement à basse température ; Éviter de « casser » les poignets, c’est-à-dire de les maintenir pliés vers le haut, pour utiliser la souris d’un ordinateur. S'équiper d’un repose-poignets ou d’un coussin ergonomique et ajuster la chaise à la bonne hauteur. Toujours avec une souris, la configurer de manière à ce que le bouton le plus utilisé soit à droite. En cliquant avec l’index, la main est ainsi laissée dans une position plus naturelle. Enfin, les maladies facteurs de risque, doivent être traitées sans attendre.  Sources - Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS), Les troubles musculosquelettiques du membre supérieur, guide pour les préventeurs - Institut Mutualiste Montsouris, Fiche info patients - Assurance Maladie, Ameli santé
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_784/menu-haut/maladies-et-prevention/troubles-articulaires-et-musculaires/syndrome-du-canal-carpien/diagnostic-traitement-et-prevention.html
  • Panoramique dentaire

    Cet examen est indiqué pour rechercher diverses anomalies dentaires comme l’état des gencives, les caries débutantes, les dents de sagesse ou incluses, les abcès, les tumeurs osseuses ou les fractures maxillaires ou dentaires. Il permet également d’analyser l’évolution de la dentition chez l’enfant. Il est utile pour décider du bien fondé d’implants. Comment se déroule l’examen ? Un panoramique dentaire se déroule dans une salle de radiologie, debout ou assis sur un fauteuil spécial, parfaitement immobile, la tête calée sur un appui-tête, un support en plastique coincé entre les dents. Lors de la prise du cliché, une caméra spéciale se déplace lentement devant le visage tout autour de la mâchoire. Combien de temps dure l’examen ? L’examen dure 10 à 20 secondes. Est-ce douloureux ? C’est un examen totalement indolore. Une anesthésie est-elle nécessaire ? Il n’est pas nécessaire de pratiquer une anesthésie. Une hospitalisation est-elle nécessaire ? Il n’est pas nécessaire d’être hospitalisé(e). Ce que vous devez faire (avant, le jour, après l’examen) Il faut préalablement enlever les appareils dentaires, les prothèses auditives, bijoux ou barrettes juste avant l’examen. Précautions particulières Un tablier de protection en plomb sur le ventre peut être indiqué si vous êtes enceinte. Quand peut-on avoir les résultats ? Rapidement. Le médecin radiologue qui réalise l’examen fait une première interprétation des images. Un résultat définitif est ensuite transmis au médecin ou au dentiste. Est-ce remboursé ? Intégralement par la Sécurité Sociale et les mutuelles. Sources imageriemedicale.fr/examens/imagerie-dentaire/panoramique-dentaire Site de la Société Française de Radiologie : www.sfrnet.or
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_906/menu-haut/examens-analyses-vaccins/examens-de-sante/radiologie/panoramique-dentaire-.html
  • Phmétrie oesophagienne

    Notamment très utilisé en pédiatrie, la pHmétrie permet de rechercher un reflux gastro-oesophagien c’est-à-dire des remontées acides en provenance de l’estomac, irritantes pour le bas de l’œsophage. C’est un examen très fiable (96%) pour déterminer le reflux gastro-oesophagien (RGO). Comment se déroule l’examen ? Après une courte anesthésie locale, le médecin introduit une sonde, munie d’un capteur d’acidité, par une narine jusqu’au bas de l’œsophage. Les données sont transmises à un boîtier électronique porté à la taille. En fin d’examen, les mesures enregistrées sont analysées par ordinateur. Combien de temps dure l’examen ? Quelques minutes suffisent pour anesthésier le fond de la gorge et mettre la sonde en place. L’enregistrement dure entre 3 et 24 heures. Est-ce douloureux ? La pHmétrie est un examen indolore mais inconfortable au passage de la sonde. Celui-ci sera aidé en avalant un peu d’eau avec une paille. Une anesthésie est-elle nécessaire ? Il est pratiqué une courte anesthésie locale des muqueuses pour rendre moins désagréable le passage de la sonde. Une hospitalisation est-elle nécessaire ? Une hospitalisation est le plus souvent nécessaire lorsqu’il s’agit d’un enfant. La présence d’un des parents est alors souvent recommandée. Ce que vous devez faire (avant, le jour, après l’examen) Le passage de la sonde nécessite que l’estomac soit vide. Il est donc important de respecter une période de jeûne de 4 à 6 heures avant l’examen. Précautions particulières L’examen doit être réalisé en dehors de toute infection ORL concomitante. Quand peut-on avoir les résultats ? Les résultats parviennent rapidement (24 à 48 heures) après traitement informatique des données. Est-ce remboursé ? Intégralement par la Sécurité Sociale et les mutuelles. Sources www.gastroenterologue-toulouse.fr/les-specialites/explorations-fonctionnelles/explorations-de-loesophage-ph-metrie-et-manometrie
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_907/menu-haut/examens-analyses-vaccins/examens-de-sante/examens-metriques/phmetrie-oesophagienne-.html
  • Ponction biopsie hépatique (PBH)

    Cet examen permet de diagnostiquer des maladies comme la cirrhose ou le cancer du foie. Il peut être indispensable pour traiter certaines hépatites (B et C notamment) Comment se déroule l’examen ? La biopsie transpariétale consiste à prélever un fragment de foie au travers de la paroi cutanée. L’examen se fait allongé sur le dos ou sur le côté gauche. Le médecin injecte d’abord un produit anesthésiant sous la peau entre deux côtes en regard du foie. Le prélèvement est souvent guidé par échographie ou par scanner pour plus de précision et de sécurité. Le fragment de tissu extrait est ensuite examiné au microscope dans un laboratoire spécialisé. Une variante, la biopsie transjugulaire peut être proposée lorsqu’une ascite (liquide dans le ventre) ou des troubles graves de la coagulation ne permettent pas la biopsie transpariétale. Vous êtes allongé sur le dos. Un cathéter est introduit dans la veine jugulaire interne puis est conduit sous contrôle vers la veine hépatique. Un fragment est ensuite prélevé à l’aide d’une aiguille à biopsie introduite dans le cathéter. Combien de temps dure l’examen ? Le prélèvement en lui-même ne demande que quelques secondes. Après la ponction biopsie, vous devez rester allongé sur le côté droit pendant 1 à 3 heures et alité pendant 6 heures minimum. Est-ce douloureux ? La ponction hépatique en elle-même est indolore grâce à l’anesthésie locale. Il arrive cependant que, dès la fin de la biopsie, l’on ressente une douleur au niveau du foie ou au niveau de l’épaule droite. Ces douleurs s’atténuent rapidement et disparaissent en un ou deux jours Une anesthésie est-elle nécessaire ? Une anesthésie locale est pratiquée sous la peau à l’endroit de la ponction entre deux côtes du côté droit. Une hospitalisation est-elle nécessaire ? Une courte hospitalisation est souvent indispensable (en général 24 heures maximum). Ce que vous devez faire (avant, le jour, après l’examen) Cette intervention nécessite des examens préalables : un bilan sanguin de coagulation pour savoir s’il existe un risque hémorragique et une échographie du foie pour repérer le site de ponction. Il faut être à jeun durant les 6 heures précédant l’examen. Pour ceux dont la sortie est autorisée le soir même, il est demandé de ne pas s’éloigner à plus de 20 minutes de l’hôpital et de rester accompagné par un adulte. Il est également déconseillé d’effectuer des efforts physiques intenses durant la semaine suivant l’intervention. Précautions particulières Il est indispensable de ne pas prendre de médicament modifiant la coagulation, comme l’aspirine, dans les 10 jours précédant et suivant la biopsie. Quand peut-on avoir les résultats ? Les résultats sont connus après examen au microscope du fragment de foie prélevé, sous forme d’un compte rendu écrit envoyé au médecin traitant dans les 8 à 10 jours. Est-ce remboursé ? Intégralement par la Sécurité Sociale et les mutuelles. Sources hepatoweb.com/informationbiopsiedufoie.php
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_908/menu-haut/examens-analyses-vaccins/examens-de-sante/ponctions/ponction-biopsie-hepatique-pbh-.html
  • Ponction lombaire

    Son analyse permet le diagnostic de nombreuses affections neurologiques comme par exemple une méningite, un cancer, une sclérose en plaque,  ou une hémorragie intracrânienne. Elle peut être réalisée dans un but thérapeutique (antibiotiques). Le liquide céphalorachidien permet d’amortir les chocs, en particulier lors des mouvements. Ce liquide stérile (absence de microbes) est translucide comme de l’eau et transporte différents éléments (sodium, potassium, protéines, etc.) Fabriqué au niveau du cerveau, il se renouvelle trois fois par jour et circule jusque dans le bas de la colonne vertébrale, entre les trois membranes des méninges (enveloppes entourant le cerveau et la moelle épinière). Cet examen peut être demandé à tout âge y compris chez les nourrissons. Parfois, la ponction lombaire permet l’injection d’un produit de contraste dans la moelle épinière avant une radiographie, pour en améliorer la visibilité. Comment se déroule l’examen ? La ponction peut être faite en position assise ou en position allongée sur le côté (genoux repliés sur le ventre et menton rentré dans la poitrine). Elle est généralement pratiquée entre la quatrième et la cinquième vertèbre lombaire. Une fois la zone de ponction identifiée, le site est nettoyé au moyen d’une solution antiseptique et entouré de compresses stériles. Un anesthésique local est ensuite injecté dans la peau. Le médecin prélève l’échantillon de liquide céphalo-rachidien à l’aide d’une grande aiguille fine. Pendant la ponction, il ne faut pas retenir sa respiration mais respirer lentement et profondément en ouvrant la bouche et éviter de bouger. Le liquide rachidien est recueilli dans plusieurs tubes stériles destinés à des analyses bactériologiques, cytologique et chimique. Combien de temps dure l’examen ? L’examen dure au total 15 à 30 minutes. La préparation, la désinfection du site de ponction et l’administration de l’anesthésique local prennent le plus de temps. Le temps de la ponction proprement dite est relativement court (2 à 3 minutes). Est-ce douloureux ? L’effet secondaire le plus courant est le mal de tête. On peut également ressentir une douleur dans le bas du dos, à l’endroit où l’aiguille a été introduite. Cela ne devrait pas durer plus de deux ou trois jours. Il est exceptionnel que le médecin touche lors de la ponction une racine nerveuse, ce qui entraîne alors une douleur en éclair. Une anesthésie est-elle nécessaire ? Une anesthésie locale est pratiquée dans le bas du dos, au niveau de la zone de ponction. Une hospitalisation est-elle nécessaire ? La ponction lombaire se déroule le plus souvent au cours d’une hospitalisation, dans la chambre d’hôpital ou aux urgences. Ce que vous devez faire (avant, le jour, après l’examen) Vous êtes autorisé à boire et manger avant cet examen et il n’est pas nécessaire d’être à jeun. Après la ponction, il faut rester allongé quelques heures pour éviter d’avoir mal à la tête (phénomène qui peut survenir à cause du changement de pression dû au liquide rachidien prélevé). Précautions particulières Avant l’examen, il est fréquent que le médecin s’assure, par un fond d’œil ou un scanner cérébral qu’il n’existe pas de contre-indication. Toute anomalie de la coagulation doit être signalée et recherchée (prise de sang). Quand peut-on avoir les résultats ? L’échantillon de liquide céphalo-rachidien sera envoyé dans un laboratoire où il sera examiné au microscope. Il faut parfois plus d’un jour avant d’obtenir les résultats définitifs, mais les principaux résultats sont connus dans les heures qui suivent. Est-ce remboursé ? Intégralement par la Sécurité Sociale et les mutuelles. Sources www.ameli.fr/assure/sante/examen/exploration/deroulement-ponction-lombaire
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_909/menu-haut/examens-analyses-vaccins/examens-de-sante/ponctions/ponction-lombaire-.html
  • Phosphatases alcalines

    Les phosphatases alcalines sont des enzymes présents dans pratiquement tout l’organisme, mais avant tout dans le foie et dans les os. La présence de phosphatases alcalines est essentielle à la minéralisation de l’os. Valeurs normales Adulte : 30 à 130 UI/l. Enfant (de 0 à 15 ans) : 70 à 450 UI/l (unités internationales/litre). Variations physiologiques Les phosphatases alcalines varient en fonction de l’âge. Le taux est plus élevé pendant la croissance. Signification d’une augmentation On observe une élévation des phosphatases alcalines lors de maladies hépatiques et osseuses telles que Pathologies hépatiques : cholestase (diminution u arrêt de sécrétion de la bile), cirrhose, métastases hépatiques Pathologies osseuses : maladie de Paget, tumeurs et métastases osseuses, ostéomalacie (déminéralisation diffuse par manque de Vit D), rachitisme, tumeurs et métastases osseuses. Pathologies cancéreuses : cancers de l’ovaire, col de l’utérus, poumon, testicule, foie, pancréas, os. Signification d’une baisse On peut rencontrer une diminution des phosphatases alcalines dans les pathologies suivantes : Hypothyroïdie, Baisse de phosphates sanguins Hypoparathyroïdie Déficit en Vit C Malnutrition Exposition aux radiations Insuffisance hépatique grave Modalité de l’examen Aucune condition particulière n’est requise pour cet examen. Le prélèvement sanguin se fait au pli du coude. Les valeurs normales indiquées dépendent des techniques utilisées par les laboratoires et peuvent donc varier d’un laboratoire à l’autre.
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_938/menu-haut/examens-analyses-vaccins/analyses/bilan-biochimique/phosphatases-alcalines.html
  • Plaquettes

    Les plaquettes, ou thrombocytes, jouent un rôle dans l’hémostase primaire, c’est-à-dire dans les premiers instants qui suivent l’effraction d’un vaisseau et le saignement. Elles s’agglutinent entre elles et vont boucher la brèche vasculaire. C’est le clou plaquettaire. Les plaquettes libèrent au passage de nombreuses substances plaquettaires essentielles à la poursuite des phénomènes de coagulation. Valeurs normales Entre 150 000 à 450 000 par mm3. Variations physiologiques Le nombre des plaquettes est assez stable de la naissance à l’âge adulte. Il varie parfois lors de la grossesse. Signification d’une augmentation Ou thrombocytose (également appelée thrombocytémie), les plaquettes sont augmentées lors d’un syndrome inflammatoire et infectieux, d’une ablation de la rate (splénectomie), d’une carence chronique en fer, hémorragie importante, d’une cirrhose, pancréatite d’une atteinte de la moelle osseuse, cancers de la moelle osseuse, d’un séjour en altitude. Le risque est celui d’une thrombose : obstruction veineuse ou artérielle. Signification d’une baisse Ou thrombopénie, elle s’observe lors de la prise d’alcool, de thrombopathies (anomalie du fonctionnement plaquettaire), de certaines maladies médullaires osseuses, cancers de sang, de la prise de certains médicaments (anticoagulants à base d’héparine injectés par voie sous-cutanée), d’hyperfonctionnement de la rate, d’infections virales, de maladies auto-immunes. Surveiller des hématomes trop faciles, des saignements du nez (épistaxis), des gencives, tout saignement anormal. Modalité de l’examen Aucune condition particulière n’est requise pour cet examen. Le prélèvement sanguin s’effectue au pli du coude. Les valeurs normales indiquées dépendent des techniques utilisées par les laboratoires et peuvent donc varier d’un laboratoire à l’autre.
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_939/menu-haut/examens-analyses-vaccins/analyses/hematologie/plaquettes.html
  • PSA

    L’Antigène Prostatique Spécifique, ou PSA, est une substance glucidique et protéique sécrétée par la prostate. Elle permet de fluidifier le sperme et de favoriser le déplacement des spermatozoïdes. Comme tous les autres marqueurs tumoraux, le dosage du PSA permet de déterminer une anomalie prostatique (simple augmentation de volume : adénome ou cancer), de juger de l’efficacité du traitement ou de dépister un cancer de la prostate. Valeurs normales Le taux doit être inférieur à 2,5 ng/l à moins de 50 ans. Il est variable avec l’âge : 3,5 ng/l de 50 à 60 ans et 4,5 ng/l de 60 à 70 ans. Variations physiologiques Le PSA n’est présent que chez l’homme. Signification d’une augmentation Des taux très élevés (supérieurs à 10 ng/l) sont observés dans les cancers de la prostate. Des taux élevés sont parfois observés pour les prostatites (inflammation de la prostate) et certains adénomes (tumeur bénigne) avec réactions inflammatoires. La surveillance du PSA des patients à risque doit être régulière. Attention : un taux de PSA normal peut se rencontrer dans le cadre d’un cancer de la prostate. Le toucher rectal est indispensable pour en vérifier l’intégrité. Modalité de l’examen Aucune condition particulière n’est requise. Mais au vu de la sensibilité du dosage, il est recommandé d’effectuer ce dosage à distance d’un toucher rectal ou d’un sondage urinaire.
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_940/menu-haut/examens-analyses-vaccins/analyses/marqueurs-tumoraux/psa.html
  • Prothrombine (taux de) / INR

    Le taux de Prothrombine (TP), ou temps de Quick, est un examen qui évalue une partie de la coagulation sanguine. Dosé pour surveiller l’activité d’un traitement anticoagulant ou des troubles hémorragiques pour explorer la coagulation sanguine. Valeurs normales Exprimé en pourcentage, on estime qu’un TP normal est supérieur à 70 %. Signification d’une baisse Traitement anticoagulant, Cirrhose Insuffisance hépatique, Hépatite, Coagulation intravasculaire disséminée ou CIVD (multiples petits caillots dans le sang), Déficit congénital en facteur de coagulation, en vitamine K. Modalités de l’examen Pas de nécessité d’être à jeun. Prélèvement au pli du coude. Les valeurs normales indiquées dépendent des techniques utilisées par les laboratoires et peuvent donc varier d’un laboratoire à l’autre.
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_942/menu-haut/examens-analyses-vaccins/analyses/hematologie/prothrombine-taux-de-inr.html
  • La pharmacie familiale idéale

      Qu'il s'agisse d'y ranger du petit matériel d'urgence, les médicaments pour les enfants ou tout simplement son propre traitement quotidien, la pharmacie familiale est indispensable pour la santé de chacun. On doit également pouvoir y trouver des médicaments pour une automédication (antalgiques, antipyrétiques…) qui peuvent éviter une consultation médicale en urgence. Un emplacement et un rangement efficace La pharmacie familiale doit être située dans un local sec et frais, hors de portée des enfants et munie le cas échéant d'une fermeture. Afin d'éviter toute méprise, l'intérieur doit être bien rangé, les noms des médicaments bien en vue, et de préférence par thèmes (antalgiques, anti-inflammatoires, antibiotiques, collutoires, suppositoires etc…). Pour cela, il est important de conserver les emballages des médicaments ainsi que leur notice afin de pouvoir les identifier rapidement. Que doit contenir la pharmacie idéale ? Les instruments et les produits de soins : un thermomètre,  une pince à écharde ou une pince à épiler de bonne qualité,  un instrument pour retirer les tiques (tire-tique),  une paire de ciseaux à bouts ronds,  une boîte de compresses stériles,  des bandes de tailles différentes,  du sparadrap hypoallergénique,  des pansements adhésifs,  des solutions antiseptiques. Les médicaments pour les petits maux de tous les jours : des médicaments contre la douleur et contre la fièvre (aspirine, paracétamol ou ibuprofène), avec des dosages adaptés à chacun des membres de la famille (nourrisson, enfant, adultes),  un anti diarrhéique et une solution de réhydratation, si la famille est composée d’enfants en bas âge,  un antispasmodique,  un antiémétique contre les nausées et les vomissements,  du sérum physiologique en dosettes (pour déboucher le nez, pour le lavage des yeux),  des pastilles contre le mal de gorge,  du baume pour les ecchymoses,  une pommade contre les démangeaisons dues aux piqures d’insectes. Un tri régulier N'hésitez pas à contrôler régulièrement les dates de péremption des médicaments. Les médicaments périmés et ceux non utilisés doivent être rapportés à la pharmacie dans le cadre du dispositif Cyclamed. En revanche, la boîte en carton est à déposer dans la poubelle du tri sélectif selon le dispositif de valorisation des emballages mis en place par la commune.
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_977/menu-haut/sante-au-quotidien/prendre-soin-de-sa-sante-/medicaments/la-pharmacie-familiale-ideale.html
  • Infections à papillomavirus humains

    Est-ce un vaccin obligatoire ? Non, mais il est recommandé. Pourquoi se faire vacciner ? Le cancer du col de l’utérus est une cause fréquente de décès chez les femmes (3000 femmes, 1100 décès). Plus de 99 % des cancers du col de l’utérus sont associés à une infection génitale persistante par un ou plusieurs papillomavirus humains oncogènes, l’infection virale la plus fréquente des voies génitales. Le vaccin protège contre 70% des HPV. Les recommandations officielles La vaccination contre les infections à papillomavirus humains est recommandée à toutes les jeunes filles âgées de 11 à 14 ans, afin de les protéger avant qu’elles ne soient exposées au risque d’infection. Le schéma vaccinal comprend deux injections respectant un intervalle de six mois entre la première et la deuxième injection. Après 15 ans, un schéma à trois injections (0, 1 mois, 1 an) est recommandé. Une mesure de rattrapage est prévue et le vaccin est également proposé aux jeunes filles et jeunes femmes de 15 à 20 ans qui n’auraient pas eu de rapports sexuels ou au plus tard, dans l’année suivant le début de leur vie sexuelle. Un rappel ultérieur n’est pas nécessaire. La vaccination contre les infections à papillomavirus humains ne se substitue pas au dépistage des lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l’utérus par le frottis cervico-utérin, y compris chez les femmes vaccinées, mais vient renforcer les mesures de prévention. A partir de 25 ans, toutes les jeunes femmes vaccinées ou non vaccinées doivent continuer à bénéficier du dépistage selon les recommandations en vigueur. Le vaccin est-il remboursé ? Oui, il est pris en charge par l’Assurance maladie. Sources www.e-cancer.fr www.vaccination-info-service.fr
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_1061/menu-haut/examens-analyses-vaccins/vaccins/vaccins-viraux/infections-a-papillomavirus-humains.html
  • Infections à pneumocoques

      Est-ce un vaccin obligatoire ? Oui depuis janvier 2018.   Pourquoi se faire vacciner ? Chaque année, plus d’un million d’enfants à travers le monde meurent d’une infection à pneumocoque (méningite, septicémie, pneumonie). En France, le pneumocoque est le principal responsable des méningites bactériennes chez le nourrisson de moins de 1 an. On dénombre chaque année 150 à 200 cas.  Le pneumocoque est la première cause d’infection bactérienne chez l’enfant de moins de 3 ans (pharyngites, otites, sinusites).  L’efficacité du vaccin est comprise entre 65 et 80 %.   Les recommandations Le vaccin antipneumococcique est obligatoire pour l'ensemble des enfants de moins de 2 ans, selon un schéma comportant deux injections à un mois d'intervalle et un rappel à 12 mois.  Il est également recommandé : •    pour les enfants de 24 à 59 mois présentant une pathologie les exposant à un risque élevé,  •    pour les adultes et enfants de 5 ans et plus atteints de certaines pathologies.   Le vaccin est-il remboursé ? Oui.    Sources http://inpes.santepubliquefrance.fr/ www.mesvaccins.net
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_1062/menu-haut/examens-analyses-vaccins/vaccins/vaccins-bacteriens/infections-a-pneumocoques.html
  • Poliomyélite

      Est-ce un vaccin obligatoire ? Oui.   Pourquoi se faire vacciner ? La poliomyélite (Poliovirus) a aujourd’hui disparu de la majorité des pays du monde (37 cas en 2016). Aucun cas n’a été déclaré en Europe depuis 1998 (depuis 1990 en France). Mais elle est encore présente en Afghanistan, au Pakistan et au Nigéria (2016). Il persiste donc un risque d’importation à partir de ces régions. La poliomyélite atteint les muscles respiratoires et est responsable de séquelles motrices importantes très douloureuses avec déformation des membres. Les adultes oublient trop souvent le rappel du vaccin contre la poliomyélite à faire tous les 10 ans, associé au tétanos. La contamination se fait essentiellement par l’eau, les légumes et fruits contaminés et par la salive.   Les recommandations Une première injection est recommandée à partir de l’âge de 2 mois, une deuxième à 4 mois et un rappel à 11 mois, puis tous les 5 ans jusqu’à l’âge de 18 ans. Passé 18 ans, un rappel tous les 10 ans.   Le vaccin est-il remboursé ? Oui. Toutes les vaccinations obligatoires sont prises en charge par l'Assurance maladie. Ce vaccin peut être réalisé par votre médecin traitant ou le pédiatre de votre enfant mais également par les services des conseils généraux (notamment par les centres de Protection Maternelle et Infantile).     Sources http://polioeradication.org/
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_1063/menu-haut/examens-analyses-vaccins/vaccins/vaccins-viraux/poliomyelite.html
  • Potage de potimarron au curry

    Recette d'automne Recette végétarienne Ne contient pas de gluten Recette facile 4/6 couverts Préparation 15 min Cuisson 30 min Repos 0 min 0,35 € / 0,50 € par personne     Potage de potimarron au curry Ingrédients 2 kg de potimarron (ou 1 potimarron entier de taille moyenne) 1 gousse d’ail Sel, ou 1 cube de bouillon de volaille Poivre noir ou "5 baies" 1 cuillère à café de curry en poudre 1 cuillère à soupe de crème fraîche Préparation Brossez le potimarron sous l’eau du robinet. Coupez le potimarron en morceaux : gardez la peau et retirez les pépins à l’aide d’une cuillère à soupe. Attention, le potimarron est dur à couper. Mettez les morceaux de potimarron dans une casserole ou une cocotte. Ajoutez de l’eau sans couvrir le légume, le poivre (ou "5 baies"), le sel ou le cube de bouillon de volaille, l’ail écrasé et le curry (1 cuillère à café ou plus selon vos goûts). Faites cuire environ 30 minutes. Pour vérifier la cuisson, plantez un couteau pointu dans un morceau de potimarron. Le légume est cuit quand il est tendre. Ajoutez une cuillère à soupe de crème fraîche et mixez le tout. Régalez-vous ! Variante de présentation Servez en individuel : dans des bols ou dans des assiettes creuses. Avec un émincé d’endives ou une tagliatelle de carotte crue déposée au dernier moment à la surface (pour apporter du croquant). En verrine lors d’un apéritif dînatoire ou en "amuse bouche". Télécharger le PDF de la recette Alternatives Vous pouvez... Supprimer la crème fraîche pour une recette plus légère ou mettre 2 cuillères à soupe de crème fraîche au lieu d’1 pour une recette plus gourmande. Ajouter de l’oignon que vous aurez fait dorer au préalable (à mixer avec le reste). Mettre plus de curry et d’ail, à votre convenance, et inversement. Conseils et astuces pratiques Vous pouvez préparer ce plat la veille. Accommodez les restes Vous pouvez ajouter des pommes de terre cuites et faire une purée "pommes de terre/potimarron". Intérêts nutritionnels Recette convenant à tous et notamment : aux personnes diabétiques : à considérer comme une part de légumes (environ 5 % de glucides) ; ce plat comprend la part de légumes recommandée pour une alimentation équilibrée.
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_2218/menu-haut/alimentation-recettes/recettes/recettes-d-automne/potage-de-potimarron-au-curry.html
  • Recettes de printemps


    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_3139/menu-haut/alimentation-recettes/recettes/recettes-de-printemps.html
  • Papillotes de saumon aux tagliatelles

    Recette d'été 4 personnes Préparation 15 min Cuisson 1h 2,70 € par personne     Ingrédients  4 filets/pavés de saumon (frais ou surgelés) 2 petites courgettes 4 tranches de bacon 4 poivrons rouges Herbes aromatiques : origan ou herbes de Provence Sel, poivre (ou 5 baies) Huile d’olive Préparation Lavez les poivrons sous un filet d’eau et retirez le cœur et la queue.Coupez-les en 4. Dans une poêle anti-adhésive ou une sauteuse, ajoutez un fond d’huile d’olive et démarrez la cuisson des poivrons à feu doux. Remuez de temps en temps et ajoutez un peu d’huile si nécessaire. Le plat est prêt quand les poivrons sont légèrement grillés (environ 1 h de cuisson). Salez et poivrez avant de servir. Préchauffez le four 210° C ou thermostat 7 pendant 10 minutes. Lavez et épluchez les courgettes puis coupez-les en fines lamelles comme des tagliatelles à l’aide d’un économe, d’un épluche-légumes ou d’un rasoir à légumes. Si vous utilisez des filets/pavés de saumon frais, passez-les sous l’eau et essuyez-les. S’ils sont congelés, décongelez-les la veille en les plaçant au réfrigérateur ou en les passant quelques minutes au four à micro-ondes. Découpez 4 grandes feuilles de papier cuisson. Sur chacune, déposez un filet/pavé de saumon, des tagliatelles de courgette, du poivre, une pincée de sel, une tranche de bacon coupée en morceaux, quelques gouttes d’huile d’olive et une poignée d’herbes aromatiques. Fermez complètement chaque papillote : rapprochez les deux bords dans le sens de la longueur, faites un double pli et rabattez les extrémités en-dessous. Attention, la papillote doit être bien fermée pour que le jus reste à l’intérieur. Mettez-la à cuire au four pendant 20 min. Présentez la papillote dans l’assiette accompagnée des poivrons rouges grillés à part. Variante de présentation Les poivrons grillés, comme le poisson, peuvent être présentés en cocottes individuelles. Alternatives Vous pouvez... Accompagner la papillote de riz ou d’une pomme de terre (en purée ou cuite à la vapeur…). Ajouter des épices dans la papillote : du curry, du curcuma, du piment d’Espelette par exemple. Varier les herbes aromatiques de la recette : basilic frais ou surgelé, romarin, etc. Remplacer le saumon par d’autres poissons ; par exemple la truite, le maquereau, le merlan, le lieu, la julienne, le cabillaud, la lotte… Pour les personnes allergiques et intolérantes Intolérance au gluten : ce plat ne contient pas de gluten (le riz et les pommes de terre non plus). Pour les personnes végétariennes : retirez le poisson et le bacon et ajoutez d’autres légumes pour faire une papillote de légumes (carottes, fenouils, poireaux, navets…). Accommodez les restes La papillote peut être réchauffée pour un autre repas à température douce pour qu’elle ne se dessèche pas. La papillote peut être consommée froide, accompagnée d’une vinaigrette et/ou de vinaigre balsamique. A savoir Préparer les poivrons à l’avance, voire même la veille en les conservant au réfrigérateur et en finissant la cuisson au moment du réchauffage. Intérêts nutritionnels Recette convenant à tous et notamment : aux personnes diabétiques : en ajoutant un féculent (riz ou pomme de terre par exemple) ; aux personnes qui ont un taux de cholestérol à surveiller. Ce plat comprend les parts de viande/ poisson/œuf et légumes recommandées pour une alimentation équilibrée.   Sources - "Ma cuisine des quatre saisons - Des recettes santé et plaisir pour tous" - Harmonie Mutuelle
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_3152/menu-haut/alimentation-recettes/recettes/recettes-d-ete/papillotes-de-saumon-aux-tagliatelles.html
  • Paëlla simplissime

    Recette d'été 6 personnes Préparation 30 min Cuisson 1h 2 € par personne     Ingrédients  400 g  de riz long ou « spécial paëlla » 2 poivrons (1 rouge et 1 vert de préférence) 250 g de petits pois surgelés 1 chorizo (maigre ou le moins gras possible) 500 g de mélange de fruits de mer surgelés 6 pilons de poulet Huile d’olive Épices à paëlla ou safran 2 oignons 2 gousses d’ail 2 cubes de bouillon de volaille dégraissé Sel, (facultatif), poivre Préparation La préparation de cette recette peut être réalisée à l’avance. Lavez et coupez les poivrons en lanières, émincez les oignons, épluchez l’ail. Coupez le chorizo en tranches et réservez. Cuisez séparément les poivrons, les oignons, le mélange de fruits de mer avec un filet d’huile d’olive et réservez. Ils seront mélangés plus tard avec le riz. Conservez les jus de cuisson dans un seul bol. Une heure et quart avant le repas Déposez les pilons de poulet dans une poêle anti-adhésive huilée. Faites-les dorer puis baissez le feu. Vous poursuivrez la cuisson pendant que le riz finira de cuire. Dans une grande sauteuse (ou wok ou plat à paëlla) huilée, jetez le riz qui doit devenir luisant. Ajoutez de suite les épices à paëlla et mélangez bien pour enrober les grains de riz. Ajoutez un peu d’eau, les cubes de bouillon de volaille, les poivrons, l’oignon, l’ail finement coupé, les petits pois encore surgelés, les fruits de mer, le chorizo (et le safran s’il remplace les épices à paëlla) et les jus de cuisson. Au fur et à mesure de la cuisson, ajoutez de l’eau chaude jusqu’à son absorption complète. Estimez 3 volumes d’eau pour 1 volume de riz à l’aide d’un grand verre. Remuez régulièrement pour que le riz ne colle pas au fond de la sauteuse. Si le riz manque légèrement de cuisson et que toute l’eau est absorbée, éteignez le feu, couvrez jusqu’au repas. Il finira de cuire tranquillement et restera chaud. Disposez les pilons de poulet en rond sur le riz. Servez. Variante de présentation Présentez la paëlla dans le plat de cuisson. Ajoutez des quartiers de citron jaune autour du plat. Présentez le plat en cocottes individuelles lors d’un service à l’assiette Alternatives Vous pouvez... Faire la paëlla uniquement avec des produits de la mer. Faire une paëlla « frigo » : c’est-à-dire une base riz, petits pois, épices, chorizo… et utiliser les restes du réfrigérateur pour compléter la composition (morceaux de viande et/ou de poisson par exemple). Remplacer les pilons de poulet par de l’escalope de poulet (300 g) : coupez en morceaux ; faites dorer au préalable et incorporez au riz avec les autres ingrédients de début de cuisson. Pour les personnes allergiques et intolérantes Intolérance au gluten : ce plat ne contient pas de gluten. Pour les personnes végétariennes : adaptez la recette en supprimant le poulet, le chorizo et les fruits de mer et faites un riz façon paëlla. A savoir Si vous souhaitez prendre de l’avance, vous pouvez faire dorer le poulet en même temps que les autres ingrédients et poursuivre la cuisson dès que le riz commence à cuire. Ce plat peut être la base d’un repas à thème espagnol. Intérêts nutritionnels Recette convenant à tous et notamment aux personnes diabétiques : le riz constitue la part de féculent, en consommant la quantité qui vous est conseillée. Ce plat comprend les parts de viande/ poisson/œuf et féculents recommandées pour une alimentation équilibrée.   Sources - "Ma cuisine des quatre saisons - Des recettes santé et plaisir pour tous" - Harmonie Mutuelle
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_3153/menu-haut/alimentation-recettes/recettes/recettes-d-ete/paella-simplissime.html
  • Pique-pastèque

    Recette d'été 6/8 personnes Préparation 25 min Repos 15 min 0,85 € par personne     Ingrédients  1 petite pastèque bien mûre 1 melon 2 nectarines jaunes 2 pêches jaunes 1 kiwi Préparation Petite précaution : les fruits seront coupés en morceaux de taille suffisante pour pouvoir être saisis avec un pic en bois. Lavez tous les fruits. Coupez la pastèque en deux. Passez la lame d’un couteau le long de la peau pour commencer à séparer la chair, puis finissez de décoller la chair à l’aide d’une cuillère à soupe. Il faut garder la peau intacte. Coupez la chair en morceaux et mettez-les dans un saladier avec le jus. Coupez le melon en deux, retirez les graines à l’aide d’une petite cuillère. Coupez-le en tranches, retirez la peau puis coupez-le en morceaux. Ajoutez-les dans le saladier avec le jus. Coupez les nectarines en tranches, puis en morceaux. La peau peut être conservée. Ajoutez-les dans le saladier avec le jus. Épluchez le kiwi et les pêches, coupez-les en morceaux. Ajoutez-les au reste des fruits avec le jus. Mélangez délicatement les fruits avec une cuillère et mettez les fruits avec le jus, dans les deux moitiés de pastèque évidées. Mettez au frais. Sortez du réfrigérateur 15 min avant la dégustation. Variante de présentation Déposez au-dessus des morceaux de fruits disposés dans la pastèque quelques grappes de groseilles et/ou des feuilles de menthe fraîche entières. Alternatives Vous pouvez... Vous pouvez… Remplacer la nectarine/pêche et le kiwi par des fruits rouges : raisin rouge, groseille, fraise, framboise… Modifier les proportions de fruits selon vos goûts et le prix des fruits. Ajouter de la menthe fraîche ciselée. Utiliser des pêches et nectarines blanches à la place des jaunes. Pour les personnes allergiques et intolérantes Intolérance au gluten : ce plat ne contient pas de gluten. Accommodez les restes Utilisez des fruits frais entiers qui risquent de ne pas être consommés avant de se gâter. Ils seront d’autant plus appréciés présentés en salade de fruits, car « prêts à être dégustés ». Faites un milk-shake : égouttez les fruits et mixez-les avec de la glace à la vanille ou un fromage blanc + de la glace pillée/des glaçons. On peut aussi ajouter du sucre ou du sucre vanillé, mais il est préférable de goûter avant de sucrer (les fruits contiennent déjà naturellement du sucre et la glace également). Cette préparation sera moins riche avec du fromage blanc. A savoir Pour savoir si une pastèque est bien mûre, elle doit paraître lourde par rapport à sa taille. En donnant un petit coup du bout des doigts sur sa surface, elle doit rendre un son « plein ». Pour retirer la chair de la pastèque et du melon, utilisez une cuillère à pommes parisienne qui permet de réaliser des billes de fruits. Intérêts nutritionnels Recette convenant à tous et notamment aux personnes diabétiques : c’est la part de fruits du repas – ne pas rajouter de sucre (la recette n’en contient pas). Ce plat comprend la part de fruits recommandée pour une alimentation équilibrée.   Sources - "Ma cuisine des quatre saisons - Des recettes santé et plaisir pour tous" - Harmonie Mutuelle
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_3154/menu-haut/alimentation-recettes/recettes/recettes-d-ete/pique-pasteque.html
  • L’usage des psychotropes

    Pour limiter la consommation de médicaments psychotropes et les effets secondaires qui sont liés, les autorités sanitaires et sociétés savantes (Académie de médecine et Académie de pharmacie) ont émis plusieurs recommandations.   Une consommation à risques La France figure parmi les pays champions du monde de la consommation de médicaments psychotropes, et cela est encore plus marqué chez les seniors. Pourtant, d’après les enquêtes de santé menées par les autorités sanitaires, ces médicaments sont souvent utilisés à tort, particulièrement les somnifères et les anxiolytiques. C’est d’autant plus inquiétant qu’ils comportent de nombreux risques pour les personnes âgées : confusion, pertes de mémoire, troubles de l’équilibre, et même pour certains d’entre eux comme les benzodiazépines* une augmentation du risque de démence à long terme.   À chaque psychotrope, ses précautions d’usage Les psychotropes sont des médicaments qui ont une action sur le cerveau. Il en existe plusieurs catégories, et chacun doit être utilisé avec précaution et en respectant la prescription médicale. Les plus courants sont : Les somnifères et hypnotiques sont prescrits pour les troubles du sommeil (difficultés d’endormissement, insomnies, réveils nocturnes…) Ils ne doivent pas être utilisés de façon prolongée (2 à 4 semaines maximum), car ils peuvent engendrer une dépendance, des troubles cognitifs comme des problèmes de mémoire et d’attention, voire des troubles de l’équilibre. Les antidépresseurs sont indiqués en cas de dépression modérée à sévère, en complément d’une psychothérapie. Les traitements mettent 2 à 4 semaines avant d’être efficaces, et doivent être suivis au moins 4 à 6 mois. Les anxiolytiques soignent les troubles anxieux, souvent liés à une dépression. Ils agissent comme des tranquillisants. Ils doivent être prescrits en complément d’un accompagnement psychologique, à la dose la plus faible possible, et utilisés sur la période la plus courte possible (3 mois maximum) car ils peuvent entraîner des troubles de la mémoire et de l’équilibre, et une dépendance. Les neuroleptiques sont indiqués contre les troubles sévères du comportement liés à certaines maladies comme la schizophrénie. Chez les seniors, ils peuvent être prescrits à des malades d’Alzheimer qui présentent une agressivité importante par exemple, ou lors d’un fort épisode de confusion en cas d’hospitalisation d’urgence. Dans tous les cas, un suivi psychiatrique est indispensable, et le traitement ne doit pas être prolongé au long cours. Si le traitement prescrit ne convient pas, s’il génère des effets secondaires ou au contraire s’il ne produit aucun effet, il est conseillé d’en parler avec son médecin traitant. Ce dernier pourra être amené à ajuster voire à modifier le traitement prescrit. Par ailleurs, la diminution puis l’arrêt de ce genre de traitements doit se faire en accord avec le médecin traitant, de façon progressive, afin d’éviter un risque de rechute ou encore de dépendance.   *Benzodiazépines : il s’agit par exemple  de Xanax®, Valium®, Lexomil®… Sous leur forme générique, tous ces médicaments ont toujours un nom qui se termine par –am (alprazolam, diazépam, bromazépam, lorazepam…) Sources Haute Autorité de Santé Académie de médecine Agence gouvernementale Santé Publique France
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_3159/menu-haut/bien-vieillir/preserver-sa-sante/bien-dans-sa-tete/l-usage-des-psychotropes.html